Cette croix
Par la foi, Abraham, lorsqu’il fut éprouvé, offrit Isaac ; et celui qui avait reçu les promesses, offrit son fils unique. Hébreux 11:17.
L’épreuve d’Abraham était la plus sévère qui puisse se présenter à un être humain. S’il y avait succombé, il n’aurait jamais été déclaré comme le père des fidèles. . . . Cette leçon fût donnée comme un phare qui brillerait à travers les siècles, afin que nous apprenions qu’il n’est rien qui soit trop précieux pour être donné à Dieu. C’est lorsque l’on considère tous les dons comme venant du Seigneur, et destinés à être employés à Son service, que nous nous assurons de la bénédiction céleste. Rendez à Dieu les biens qu’Il vous a confiés, et Il vous en confiera davantage. Gardez vos biens pour vous-mêmes, vous ne recevrez aucune récompense en cette vie, et vous perdrez la récompense de la vie future. . . .
Il est de nombreuses personnes qui ne se sont jamais abandonnés sans réserve à Dieu. Ils n’ont pas de juste idée du sacrifice infini qu’a fait Dieu pour sauver un monde perdu. Si Dieu devait leur parler comme Il parla à Abraham, ils ne connaitraient pas suffisamment Sa voix pour savoir qu’Il les appelait à faire un sacrifice afin de mettre à l’épreuve la profondeur de leur amour et la sincérité de leur foi.
La plaie de l’égoïsme est aussi contagieuse que la lèpre. Ceux qui entreront dans les parvis célestes doivent d’abord être purifiés de toute trace de cette plaie. . . .
Le Seigneur a une grande œuvre à nous confier, et Il nous invite à regarder à Lui, à nous confier en Lui, à marcher et à parler avec Lui. Il nous invite à Lui livrer sans réserve tout ce que nous sommes et que nous possédons, de sorte que, lorsqu’Il nous appellera à sacrifier pour Lui, nous soyons prêts et disposés à Lui obéir. Nous ne jouirons de la plénitude de la grâce divine que si nous donnons tout à Christ. Nous ne connaîtrons la signification du véritable bonheur que si nous entretenons le feu sur l’autel du sacrifice. Dieu transmettra le plus dans le futur à ceux qui ont accompli le plus dans le présent… Chaque jour, dans différentes circonstances, Il nous éprouve ; et dans tout effort sincère, Il choisit Ses ouvriers, non pas parce qu’ils sont parfaits, mais parce qu’ils sont prêts à travailler avec désintéressement pour Lui, et parce qu’Il voit qu’en étant reliés à Lui ils peuvent atteindre la perfection. –Our High Calling, p. 191.
Ce joug que vous avez peur de placer à votre coup, parce que vous craignez qu’il vous écorchera, Jésus le prononce aisé. Le fardeau que vous n’osez pas toucher, est léger. Tout ce qui est exigé de votre part c’est de le saisir avec détermination, et vous réaliserez qu’il est pour vous un soutien plutôt qu’un pénible fardeau. Cette croix qui vous semble être un instrument si gênant à porter, qui semble trop lourde pour être soulevée, quand vous vous en saisirez et que vous la lèverez avec joie, vous élèvera et sera pour vous une force et un appui. . . .
Vous devez vous éduquer à croire, à prendre position sur la plateforme élevée de la vérité éternelle et à accueillir avec joie l’opprobre et l’épreuve pour l’amour de Christ. Jésus vous aidera, les anges de Dieu vous aideront à résister au diable, et il s’enfuira de vous. Approchez-vous de Dieu et Il s’approchera de vous. . . . –The Upward Look, p. 376.
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1. Sur le mont du calvaire, il était une croix
Où Jésus souffrit tant de douleurs.
Oui, c’est là qu’il mourut, sur cet infâme bois,
Pour sauver le plus vil des pécheurs.
Refrain :
Cette croix, cette croix me sera toujours chère,
Elle est gloire et victoire pour moi.
Et, par elle, dans la maison du père,
Sa couronne est offerte à ma foi.
2. Cette croix où Jésus du monde est rejeté
A pour moi le plus grand des attraits.
C’est là qu’un saint Agneau, mon Sauveur, a porté
Mes fardeaux, mes douleurs, mes forfaits.
3. Sur la croix où Jésus a versé tout Son sang
Je contemple éblouie Sa bonté.
Sur la mort et l’enfer Son combat triomphant
Fait de moi Son heureuse rachetée.
4. M’appuyant avec foi sur la croix de Jésus,
Son opprobre je veux le porter,
Jusqu’au jour bienheureux où, parmi les élus,
Dans le ciel je pourrai l’exalter.
Publié le 12/01/2017, dans -Chants et cantiques, et tagué abandon, calvaire, consécration, joug, renoncement, sacrifice. Bookmarquez ce permalien. Poster un commentaire.
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