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La sainte dîme : sa destination et son utilisation
La sainte dîme
Cet article a pour but de clarifier deux choses : l’envoi de la dîme (où la dîme doit être envoyée) et l’utilisation de la dîme (comment la dîme peut et doit être utilisée).
1. L’envoi et la destination de la dîme
La dîme doit être envoyée à la maison du trésor, conformément aux paroles de Malachie 3:10, qui disent :
« Apportez toutes les dîmes à la maison du trésor, et qu’il y ait de la provision dans ma maison… » Mal. 3:10
Apporter la dîme à la maison du trésor implique qu’il y ait une maison du trésor. Si une église n’est pas organisée, n’a pas élu d’officiers, et ne possède donc pas de secrétaire, de trésorier(e), ni même d’ancien ou d’ouvrier(s), la dîme ne peut être reçue. La dîme implique par définition une organisation. Seulement, il ne doit pas s’agir d’une organisation selon le bon vouloir et les inventions des hommes, mais selon le plan et la volonté de Dieu. Envoyer sa dîme à un homme ou à un groupe d’hommes est une transgression de l’exhortation de Dieu dans Malachie 3:10. Ainsi, nous n’envoyons pas notre dîme à Dieu s’il celle-ci n’est pas envoyée et reçue en parfaite harmonie avec les directions de Dieu dans Sa parole et dans l’Esprit de prophétie. Lire la suite
La dîme de la vérité | Dilemme des derniers jours
Dans cette étude, nous réexplorons le principe de la dîme dans la Bible et considérons le dilemme qui se présente aux croyants face à cet appel de Dieu dans le contexte des derniers jours. L’aboutissement de cette méditation aborde le lien étroit entre la dîme, Celui à qui la dîme appartient, et la vérité. Merci de suivre jusqu’à la fin.
Intervention : Le système de la dîme et l’esprit de renoncement
Ce qui suit est un extrait d’échanges récents sur la question de la dîme.
Cher Frère ———,
Tu as présenté de nombreuses choses, parmi lesquelles certaines auxquelles j’aimerais rendre justice. La question de la volonté permissive et de la volonté parfaite de Dieu nous est très familière. Nous sommes en harmonie avec toi et vous sur ce principe selon lequel nous voyons que Dieu a, dans le passé, donné des ordonnances aux hommes leur permettant de suivre leur propre volonté plutôt que d’accomplir la parfaite volonté de Dieu, comme tu l’as illustré dans l’exemple du divorce. Lire la suite
Sermons du Sabbat 