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En relation avec le Dieu d’alliance (1ère partie)
Dans cette méditation, nous contemplons la nécessité profonde de nos engagements envers Dieu. Tandis que nous approfondissons notre besoin présent, nous réalisons également l’écho aux paroles du prophète Élie lorsqu’il disait à un peuple professant mais longtemps dévoyé : « Jusqu’à quand boiterez-vous des deux côtés? Si l’Éternel est Dieu, suivez-le; mais si c’est Baal, suivez-le! »
La raison pour laquelle le peuple ne lui répondit pas un mot est celle pour laquelle nous aussi, se peut-il, ne réagissons pas comme nous nous devrions face aux appels attendrissants de l’Esprit de Dieu qui cherche à nous enseigner la bonne voie et le droit chemin. Nous réfléchissons ici à notre besoin de nous engager devant Dieu et devant nous-mêmes, comme aussi ce peuple était appelé par Dieu, à travers Son instrument, à prendre une décision et à ne plus « boîter des deux côtés ».
Puisse Dieu nourrir notre enthousiasme pour le bien et pour Sa sainte volonté, afin que nous déterminions de nous exclure toutes possibilités futures de nous en détourner, et que nous fassions activement partie de ce peuple du reste que Dieu se prépare pour proclamer le grand cri.
Comprendre les dangers d’une religion impulsive et sentimentale
Cette étude vise à comprendre quelle est la religion que nous vivons, et à apprendre les dangers d’une religion impulsive et sentimentale. Notre marche chrétienne est-elle régie par nos sentiments, nos émotions et nos impulsions ? Comment cela se traduira-t-il si c’est le cas ? À quoi ressemble une religion des impulsions et des sentiments ? Cette religion nous est-elle familière ? Dans quelle mesure avons-nous cette religion-là ? Et quelles seront les conséquences inévitables d’avoir et de vivre une telle religion ? Quelle était, par opposition, la religion de Christ ? En quoi Sa religion différait-elle profondément de la religion moderne chrétienne que beaucoup même d’adventistes ont désormais adoptés comme leur religion par défaut ? C’est le but de cette méditation de briser la glace sur certains non-dits vis-à-vis d’un état d’esprit dans notre christianisme qui est en réalité l’opposé complet de la « foi de Jésus ».
« Nous courons le risque de sombrer dans une religion sentimentale et impulsive. » (Selected Messages Book 3, p. 336.3.)
« La religion est quelque chose de plus qu’une simple profession de foi, quelque chose de plus profond qu’un sentiment impulsif… » (That I May Know Him, p. 113.5.)