Le continuel et l’abomination de la désolation (1ère partie)

Le continuel et l’abomination de la désolation (1ère partie)

Dans cette étude sur « le continuel et l’abomination de la désolation », nous nous penchons sur un sujet qui semble porter sur des détails insignifiants, mais qui constitue un fondement important d’une compréhension correcte de toutes les prophéties, afin que la lumière puisse enfin briller dans notre obscurité et que l’Étoile du matin puisse se lever dans nos cœurs (2 Pierre 1:19). Pour bien le comprendre, ce sujet nécessitera qu’on se penche sur des précisions historiques plus détaillées.

Nous nous tournons pour commencer vers le passage de Daniel chap. 12, que nous voulons considérer en deux fois, ici :

Daniel 12:5 Et moi, Daniel, je regardai, et voici, deux autres hommes se tenaient debout, l’un en deçà du bord du fleuve, l’autre au-delà du bord du fleuve. 6 Et on dit à l’homme vêtu de lin, qui était au-dessus des eaux du fleuve: Quand sera la fin de ces merveilles? 7 Et j’entendis l’homme vêtu de lin, qui était au-dessus des eaux du fleuve; il leva sa main droite et sa main gauche vers les cieux, et il jura par celui qui vit éternellement que ce sera pour un temps, des temps et la moitié d’un temps, et que quand il aura achevé de briser la force du peuple saint toutes ces choses seront accomplies.

Puis :

Daniel 12:8 Et moi j’entendis, mais je ne compris pas. Et je dis: Mon seigneur, quelle sera l’issue de ces choses? 9 Et il dit: Va, Daniel, car ces paroles sont cachées et scellées jusqu’au temps de la fin. 10 Plusieurs seront purifiés, blanchis et éprouvés, mais les méchants agiront avec méchanceté, et aucun des méchants ne comprendra, mais les intelligents comprendront. 11 Et, depuis le temps où cessera le sacrifice continuel et où l’on mettra l’abomination de la désolation, il y aura mille deux cent quatre-vingt-dix jours. 12 Heureux celui qui attendra, et qui atteindra jusqu’à mille trois cent trente-cinq jours! 13 Mais toi, va à ta fin. Tu reposeras, et tu seras debout pour ton lot, à la fin des jours.

Nous avons donc ici 3 périodes prophétiques mentionnées :

  • Au verset 7 : « Un temps, des temps et la moitié d’un temps »
  • Ensuite au verset 11 : « Mille deux cent quatre-vingt-dix »
  • Et au verset 12 : « Mille trois cent trente-cinq jours ».

La première période ici mentionnée (un temps, des temps, et la moitié d’un temps) se rapporte directement à celle déjà donnée dans Daniel 7:25, au sujet du quatrième royaume qui s’élèverait sur la terre :

Daniel 7:25 Il prononcera des paroles contre le Souverain, il opprimera les saints du Souverain, et pensera à changer les temps et la loi; et les saints seront livrés en sa main pendant un temps, des temps et la moitié d’un temps.

Cette quatrième puissance, nous la connaissons bien comme celle de Rome. Seule la puissance romaine correspond à cette description d’une entité qui ferait et fit « la guerre aux saints » (Dan. 7:21).

Pour faire la correspondance donc avec cette période de « un temps, des temps et la moitié d’un temps », nous lisons davantage dans Apocalypse 12 :

Apocalypse 12:13 Or, quand le dragon vit qu’il avait été précipité en terre, il poursuivit la femme qui avait enfanté le fils. 14 Mais deux ailes du grand aigle furent données à la femme, pour qu’elle s’envolât au désert, en son lieu, où elle fut nourrie un temps, et des temps, et la moitié d’un temps, loin de la présence du serpent.

Quel est donc ici l’équivalent pour cette période ? Nous le voyons au verset 6 :

Apocalypse 12:6 Et la femme s’enfuit dans un désert, où Dieu lui avait préparé un lieu, afin qu’elle y fût nourrie pendant mille deux cent soixante jours.

La Bible a elle-même ici donné l’équivalence. Un temps prophétique étant égal à 360 jours, deux temps à 360×2, et la moitié d’un temps à 360/2, soit 360+720+180=1260.

Ce serait la période durant laquelle cette « bête » recevrait entre Ses mains les saints du Souverain et leur ferait la guerre, la période durant laquelle la femme (l’Église) irait se réfugier « dans un désert », « loin de la présence du serpent ». C’est la période que l’on appelle souvent la période de « suprématie papale ».

« Les ténèbres qui régnèrent sur la terre au cours de la longue période de la suprématie papale ne réussirent pas à éteindre complètement le flambeau de la vérité. Dans tous les âges, il y eut toujours des témoins pour Dieu, des hommes attachés à la foi en Jésus-Christ, seul Médiateur entre Dieu et les hommes, prenant les saintes Ecritures pour leur unique règle de vie et sanctifiant le véritable Sabbat. Jamais on ne saura ce que le monde doit à ces hommes. Dénoncés comme hérétiques, diffamés, leurs mobiles incriminés, leurs écrits dénigrés, mutilés et prohibés, ils demeurèrent inébranlables et conservèrent la pureté de la foi pour en transmettre, de siècle en siècle, l’héritage sacré à la postérité. » (La tragédie des siècles, p. 63.1)

Nous avons ici besoin de comprendre que le simple pluriel suppose que « des temps » veut dire « deux temps ». Et nous confirmons cette compréhension car la Bible elle-même établit l’équivalence grâce aux versets 6 et 14 d’Apocalypse 12. Comparons le language :

  • Verset 14 : Mais deux ailes du grand aigle furent données à la femme, pour qu’elle s’envolât au désert, en son lieu, où elle fut nourrie un temps, et des temps, et la moitié d’un temps, loin de la présence du serpent.
  • Verset 6 : Et la femme s’enfuit dans un désert, où Dieu lui avait préparé un lieu, afin qu’elle y fût nourrie pendant mille deux cent soixante jours.

Voyez-vous qu’il s’agit de la même période ? « La femme » est « nourrie » pendant cette période-là : « un temps, et des temps, et la moitié d’un temps, loin de la présence du serpent » / « mille deux cent soixante jours ».

« Des temps », c’est le pluriel de « un temps ». Le premier pluriel qui existe, c’est 2. D’où l’importance de discerner les distinctions que Dieu fait dans Sa parole. Rien n’a été laissé au hasard.

Revenons désormais au passage à l’étude, celui de Daniel chap. 12. Au sujet de « la fin de ces merveilles » que Daniel vit en vision dans Daniel 11, on lui dit « que ce sera pour un temps, des temps et la moitié d’un temps, et que quand il aura achevé de briser la force du peuple saint toutes ces choses seront accomplies. » (verset 7). Et ensuite nous lisons :

Daniel 12:8 Et moi j’entendis, mais je ne compris pas. Et je dis: Mon seigneur, quelle sera l’issue de ces choses? 9 Et il dit: Va, Daniel, car ces paroles sont cachées et scellées jusqu’au temps de la fin. 10 Plusieurs seront purifiés, blanchis et éprouvés, mais les méchants agiront avec méchanceté, et aucun des méchants ne comprendra, mais les intelligents comprendront.

Donc nous voyons bien que même Daniel a du mal à comprendre le sens concret des choses qui lui sont révélées, et l’ange s’y prend à plusieurs fois pour exprimer le sens réel des révélations prophétiques. Quel est-il ? D’une part, le livre de Daniel (et les révélations prophétiques qu’il contient) devait être scellé « jusqu’au temps de la fin ». D’autre part, nous lisons que : « Plusieurs seront purifiés, blanchis et éprouvés, mais les méchants agiront avec méchanceté, et aucun des méchants ne comprendra, mais les intelligents comprendront. » Il y a donc un lien étroit entre la purification des personnes et leur capacité à comprendre ces choses. Et ici l’ange dit :

Daniel 12:11 Et, depuis le temps où cessera le sacrifice continuel et où l’on mettra l’abomination de la désolation, il y aura mille deux cent quatre-vingt-dix jours.

Voilà donc la deuxième période mentionnée dans Daniel chap. 12 : « Mille deux cent quatre-vingt-dix jours ».

Nous savons que les 1260 jours prophétiques correspondent aux 1260 années de la période de suprématie papale, mais que représentent ces 1290 jours ?

Afin de bien comprendre cela, nous avons besoin d’explorer quelques détails de ces prophéties en lien avec quelques détails de l’histoire.

Comme le dit l’ange, « les sages comprendront » ; nous voulons donc comprendre en étudiant la parole de Dieu et ses prophéties afin d’en apprendre la sagesse par l’aide du Saint-Esprit.

Pour comprendre, nous devons premièrement poser la question qui soulève notre ignorance, à savoir : Qu’est-ce que « le sacrifice continuel », et qu’est-ce que « l’abomination de la désolation » ? C’est important, car c’est à partir de ce premier que serait compté la période des 1290 jours prophétiques, soit 1290 années littérales.

Pour cela, nous nous tournons vers le passage de Daniel chap. 8, d’où ce language est en fait extrait :

Daniel 8:3 Je levai les yeux, je regardai, et voici, un bélier se tenait devant le fleuve; et il avait deux cornes, et ces deux cornes étaient hautes, mais l’une était plus haute que l’autre, et la plus haute s’éleva la dernière. 4 Et je vis le bélier qui frappait de ses cornes vers l’occident, vers le nord et vers le midi; et aucune bête ne pouvait subsister devant lui, et il n’y avait personne qui délivrât de sa puissance; mais il faisait tout ce qu’il voulait, et il devint grand. 5 Et comme je regardais attentivement, voici, un bouc venait de l’occident, parcourant toute la terre sans toucher le sol; ce bouc avait une corne considérable entre les yeux. 6 Il vint jusqu’au bélier qui avait les deux cornes, et que j’avais vu se tenant devant le fleuve; et il courut contre lui dans la fureur de sa force. 7 Et je le vis atteindre le bélier; et, s’irritant contre lui, il le heurta et brisa ses deux cornes; et le bélier n’avait pas la force de lui résister; il le jeta à terre et le foula aux pieds, et il n’y eut personne qui délivrât le bélier de sa puissance.

Puis l’ange Gabriel est sommé d’expliquer à Daniel le sens de la vision, à partir du verset 15. Et il dit ceci :

Daniel 8:20 Le bélier que tu as vu, qui avait deux cornes, ce sont les rois des Mèdes et des Perses; 21 Et le bouc velu, c’est le roi de Javan; et la grande corne entre ses yeux, c’est le premier roi. 22 Et cette corne s’étant brisée, les quatre cornes qui se sont élevées à sa place sont quatre rois qui s’élèveront de cette nation, mais ils n’auront pas sa force.

C’est donc clair, Dieu merci : Le bélier aux deux cornes représente l’empire des Mèdes et des Perses, la corne la plus grande étant la nation perse qui était la plus forte des deux. Et le bouc qui apparut par la suite dans ce combat, c’est « le roi de Javan », soit de Grèce. Javan c’était la nation grecque.

Le bouc est le symbole de l’empire grec d’Alexandre, celui-ci étant représenté par la grande corne.

Ce que signifient les quatre cornes qui arrivent ensuite : Quand Alexandre mourut (323 av. J.-C.), il laissa la place à ses quatre grands généraux (les plus ambitieux et plus avides de pouvoir). Ils étaient les quatre cornes (Dan. 8:22).

Nous sommes parvenus jusqu’au verset 7, et nous poursuivons avec les versets 8 et 9 pour faire le pont :

Daniel 8:8 Et le bouc grandit extrêmement; mais quand il fut puissant, sa grande corne se brisa, et à sa place, il en surgit quatre considérables, vers les quatre vents des cieux. 9 Et de l’une d’elles surgit une petite corne qui s’agrandit beaucoup vers le midi, et vers l’orient, et vers le pays de gloire.

Donc : « De l’une d’elles » veut dire « de l’une de ces quatre cornes ». À savoir : le royaume d’Alexandre fut divisé, après sa mort, « vers les quatre vents des cieux » — à l’ouest, au nord, à l’est et au sud.

À l’ouest se trouvait la Macédoine ; au nord se trouvait l’Asie Mineure ; à l’est se trouvait la Syrie ; et au sud se trouvait l’Égypte.

La prophétie nous dit que « du sein de » l’une de ces quatre divisions naîtrait la puissance suivante : une petite corne. Et celle-ci, lisons-nous, « s’agrandit beaucoup vers le midi, et vers l’orient, et vers le pays de gloire. »

Je cite ici le fameux livre de Uriah Smith, Daniel and The Revelation pour bien comprendre le lien historique qui donne à la prophétie tout son sens :

« La petite corne sort de l’une des cornes du bouc. Comment, pourrait-on se demander, cela peut-il être vrai de Rome ? Il n’est pas nécessaire de rappeler au lecteur que les gouvernements terrestres ne sont introduits dans la prophétie que lorsqu’ils sont liés d’une manière ou d’une autre au peuple de Dieu. Rome s’est liée aux Juifs, le peuple de Dieu à cette époque, par la célèbre Ligue juive, en 161 avant J.-C. 1 Maccabées 8 ; Antiquités de Josèphe, livre 12, chapitre 10, section 6 ; Prideaux, vol. II, p. 166. Mais sept ans auparavant, c’est-à-dire en 168 avant J.-C., Rome avait conquis la Macédoine et intégré ce pays à son empire. Rome est donc introduite dans la prophétie au moment même où, à partir de la corne macédonienne conquise du bouc, elle s’apprête à partir à la conquête d’autres territoires. Elle est donc apparue au prophète, ou peut être correctement décrite dans cette prophétie, comme sortant de l’une des cornes du bouc. » (Uriah Smith, Daniel and the Revelation, éd. 1897, p. 175.4)

De quelle corne considérable la petite corne est-elle donc surgie ? La réponse : De la corne ouest — le royaume de Macédoine, dont Cassandre avait hérité à l’issue de la grande guerre de répartition entre les généraux d’Alexandre.

En guise de rappel, voilà à quoi ressemblait (ci-dessous) la division de l’empire d’Alexandre. La division verte c’est le royaume de Macédoine au temps de la division. Et si l’on regarde à l’ouest de la Macédoine, que trouvons-nous ? L’Italie, d’où est né l’empire romain. C’est la petite corne.

On lit d’ailleurs dans l’histoire que la toute petite région d’Épire (en rouge rose) se trouva envahie en 167 av. J.-C. par les romains. Et de là les romains agrandirent leur soif expansionniste en commençant par la Macédoine. La prophétie est donc parfaitement en phase avec l’histoire et la géographie.

Nous continuons d’explorer ces commentaires, cette fois par rapport aux versets 9 et 10 :

« 3. La petite corne s’agrandit beaucoup vers le midi. Cela fut vrai de Rome. L’Égypte fut transformée en province de l’Empire romain en 30 avant J.-C. et le resta pendant plusieurs siècles. » (Ibid., p. 176.1)

Le midi, cela veut dire le sud. On voit donc que la petite corne étendit son emprise sur le sud, à savoir l’Égypte.

« 4. La petite corne s’agrandit beaucoup vers l’orient. Cela fut également vrai de Rome. Rome conquit la Syrie en 65 avant J.-C. et en fit une province.

« 5. La petite corne s’agrandit beaucoup vers le pays de gloire. Ce fut vrai une fois de plus de Rome. Dans de nombreux passages bibliques, la Judée est appelée « le pays de gloire ». Les Romains en firent une province de leur empire en 63 avant J.-C., détruisirent finalement la ville et le temple, et dispersèrent les Juifs sur toute la surface de la terre. » (Ibid., p. 176.2-3)

Et nous poursuivons le passage biblique au sujet de la petite corne :

Daniel 8:9 Et de l’une d’elles surgit une petite corne qui s’agrandit beaucoup vers le midi, et vers l’orient, et vers le pays de gloire. 10 Et elle grandit jusqu’à l’armée des cieux, et elle fit tomber à terre une partie de l’armée des étoiles, et les foula aux pieds. 11 Elle s’éleva même jusqu’au chef de l’armée, lui enleva le sacrifice continuel et abattit la demeure de son sanctuaire. 12 Et l’armée fut livrée avec le sacrifice continuel, à cause du péché, et la corne jeta la vérité par terre, et elle agit et prospéra.

Qu’est-ce que cela veut dire ? Nous explorons tous ces passages ensemble car ils sont indispensables si nous voulons comprendre personnellement le sens de ces prophéties et périodes prophétiques.

Que comprenons nous par le fait que la petite corne (Rome) « grandit jusqu’à l’armée des cieux, et elle fit tomber à terre une partie de l’armée des étoiles, et les foula aux pieds »?

Nous lisons :

« 6. La petite corne grandit jusqu’à l’armée des cieux. Rome aussi fit cela. L’armée des cieux, lorsque ce terme est utilisé dans un sens symbolique en référence aux événements qui se déroulent sur la terre, doit désigner des personnes au caractère illustre ou à la position élevée. On dit que le grand dragon couleur de feu (Apocalypse 12:4) entraîna la troisième partie des étoiles du ciel, et les jeta sur la terre. Le dragon est ici interprété comme symbolisant la Rome païenne, et les étoiles qu’il précipita sur la terre étaient les dirigeants juifs. Il est évident que c’est la même puissance et la même œuvre qui sont ici mis en évidence, ce qui rend à nouveau nécessaire d’appliquer cette corne grandissante à Rome. » (Ibid., p. 176.4)

Autrement dit, cette puissance, l’Empire romain grandissant, subjugua ces nations, et déposa leurs dirigeants, dont les dirigeants juifs.

Le verset 11 :

Daniel 8:11 Elle s’éleva même jusqu’au chef de l’armée, lui enleva le sacrifice continuel et abattit la demeure de son sanctuaire. 12 Et l’armée fut livrée avec le sacrifice continuel, à cause du péché, et la corne jeta la vérité par terre, et elle agit et prospéra.

Comment Rome « s’éleva même jusqu’au chef de l’armée » ?

Il faut préciser ici que le texte d’origine ne dit pas « lui enleva le sacrifice continuel », mais plutôt : « Elle s’éleva jusqu’au chef de l’armée, et par elle le [sacrifice] continuel fut enlevé… » (conformément au langage utilisé par la Bible King James).

« La petite corne s’éleva même jusqu’au Chef de l’armée. Seule Rome fit cela. Dans l’interprétation (au verset 25), on appelle cela « s’élever contre le Prince des princes ». Quelle allusion claire à la crucifixion de notre Seigneur sous la juridiction des Romains ! » (Ibid., p. 176.5)

Cette puissance alla donc même jusqu’à s’élever, non pas seulement contre toutes les nations qui avaient existé avant elles, mais contre le Prince du ciel.

Nous nous arrêtons là pour aujourd’hui, car nous avons encore du chemin à parcourir pour arriver à la destination voulue. Nous prendrons notre temps afin d’obtenir un fondement solide pour notre entendement.

En priant que nous puissions nous rappeler des éléments que nous avons médité, afin d’arriver à une bonne conclusion lors de notre prochaine étude.

Que Dieu vous bénisse.

Publié le 26/11/2025, dans -Articles, et tagué , , , , , , , , , , , , . Bookmarquez ce permalien. Poster un commentaire.

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