Le sionisme, le démantèlement de l’État d’Israël et le dernier affrontement des nations

Quoique n’étant pas Juifs et n’ayant pas à coeur de faire la promotion du judaïsme, je tenais tout de même à partager et à commenter les propos suivants afin de pouvoir offrir une certaine éducation, tant sur l’histoire que sur les circonstances de la formation de l’État actuel d’Israël, mettant particulièrement en lumière sa réelle identité par opposition à sa supposée identité juive, jetant ainsi le fondement pour une exposition biblique dont on peut ressentir le besoin. Ces propos sont issus d’une interview récente avec le Rabbin Yisroel Dovid Weiss, tenue au Canada :

« – Alors dites-moi, Rabbin, pourquoi vous opposez-vous à l’État d’Israël, tout d’abord, et pourquoi soutenez-vous les Palestiniens ? […]

« – Ce n’est pas mon opinion personnelle ; ce que je représente, c’est l’opinion des Juifs très religieux du monde entier, y compris à al Quds (Jérusalem), ainsi que dans toute l’Europe et dans le monde entier en général.

« En tant que peuple juif, nous avons conclu une alliance avec Dieu il y a 3 000 ans sur le mont Sinaï, lorsque Moïse est monté et a reçu la Torah de la part de Dieu, et nous avons conclu une alliance pour maintenir la Torah. C’est la raison d’être du judaïsme : respecter cette alliance, être proche du Tout-Puissant, être soumis au Tout-Puissant.

« Ce mouvement, le concept de création d’un État, d’une souveraineté, ou de ce qu’ils veulent appeler une souveraineté juive, est un mouvement qui a débuté il y a environ 150 ans. Il s’agit d’une transformation de la soumission à Dieu en nationalisme. Avoir un morceau de terre, être une nation parmi les [autres] nations, être comparable à tous les grands pays. […] Le sionisme a été créé par des Juifs pour la plupart non-religieux. Il s’agissait d’un mouvement nationaliste de personnes qui s’étaient éloignées de Dieu, de la Torah. Ils n’étaient pas religieux. J’aime toujours porter avec moi la photo de la première déclaration d’indépendance ; il s’agit du premier ministre David Ben-Gurion, et ils sont en train de créer un soi-disant État juif. C’est donc un État juif ; ils sont censés revenir à Dieu ; ils disent que c’est la fin de l’exil ; et aucun de ces hommes ne se couvre la tête. Vous voyez donc le caractère fallacieux de la chose. Mais quoi qu’il en soit, les sionistes présentent [au monde] une façade de judaïsme ; ils ont incorporé la religion de manière à ce que le monde dise : « Oh, c’est une affaire de religion ; nous devons les soutenir ». Les évangéliques, les chrétiens et des millions et des millions de personnes qui les soutiennent ; ainsi que des Juifs qui ne connaissent pas bien la Torah, malheureusement, les moins religieux, et qui ont ce [ressenti] émotionnel : « Oh, nous revenons. Cela fait 2 000 ans que nous sommes en exil. » C’est la différence entre le judaïsme et le sionisme.

« En d’autres termes, […] le judaïsme c’est la soumission à Dieu ; le sionisme c’est le nationalisme, et cela nous est formellement interdit. […] En d’autres termes, pour nous, avoir un État, comme je l’ai dit, même dans une terre inhabitée, [serait inadmissible]. Mais […] ils ont créé cet État sur une terre dont ils avaient besoin pour parvenir à leurs fins : la Palestine ; mais la Palestine était une terre habitée. La majorité était musulmane. La deuxième communauté qui y vivait en nombre était celle des chrétiens, et la troisième, celle des Juifs […]. Pour créer cet État, ils ont donc dû, tout au moins, expulser le peuple palestinien. Cela va à l’encontre de tout ce que dit notre Torah, car la Torah dit : « Tu ne tueras point », « Tu ne déroberas point » ; tout comme Dieu est compatissant, nous devons être compatissants, et certainement pas dérober ou tuer et expulser des gens. Comment osent-ils ? Et pour couronner le tout, nous devons nous rappeler qu’au cours de ces 2 000 ans d’exil, nous avons tant souffert parce que nous sommes Juifs. Les Juifs ont été brûlés sur le bûcher ; on a essayé de les convertir de force lors des Croisades et de l’Inquisition. Ils ont été expulsés d’Espagne, d’Italie ; et où sont allés les Juifs ? Les pays musulmans ont accueilli les Juifs ; ils nous ont pris dans leurs bras dans tous les pays musulmans. L’Iran, où vous voulez… La Palestine était sous l’Empire ottoman. Ils nous ont accueillis et nous avons prospéré dans leurs pays. Il n’y avait pas de droits de l’homme pour nous protéger, et pourtant nous avons prospéré. Les droits de l’homme n’étaient pas nécessaires.

« Alors maintenant, que les sionistes viennent accuser les musulmans ou le peuple palestinien de nourrir une haine invétérée à l’égard des Juifs, comment osent-ils ? C’est répugnant. Nous devons faire preuve, la Torah nous demande de faire preuve de gratitude à l’égard des gens. Et inverser cela en disant : « Ces gens nous ont fait du tort » ; c’est la partie la plus criminelle de cette histoire, que les arabes, les musulmans et les Palestiniens appelleraient la « Nakba ». […]

« Les sionistes ont créé un rabbinat, tout cela pour cette façade où ils se font passer pour des Juifs. Ils ont donc créé un rabbinat avec un grand rabbin. Pour nous, cela n’a aucune valeur. [..] Dans les années 1920, le grand rabbin de la communauté religieuse qui vivait là depuis des centaines d’années était le rabbin Sonnenfeld, et il a rencontré le roi de Transjordanie dans les années 1920 (c’est-à-dire bien avant la création de l’État) pour déclarer notre loyauté, et [pour lui assurer] que nous ne voulions pas d’un État. Il est [ensuite] décédé. En 1948, le grand rabbin était le rabbin Dushinsky. À l’époque, les sionistes avaient réussi à se faire reconnaître par les Nations unies, par l’intermédiaire de la Grande-Bretagne. En 1947, dans une déclaration devant les Nations unies, le rabbin Dushinsky déclarait : « Nous souhaitons en outre exprimer notre opposition absolue à la création d’un État juif dans n’importe quelle partie de la Palestine ». Il s’agit là du représentant religieux de la communauté juive, qui déclare lui-même : « Nous ne voulons pas d’un État juif, et ces gens qui le veulent sont des imposteurs. » […]

« Des centaines de milliers de Juifs y vivent aujourd’hui […] et ne reconnaissent pas l’autorité de l’État d’Israël. En fait, ils manifestent tous les jours, […] et ils sont battus ; des vieillards sont assassinés, des rabbins ; c’est incroyable. Et le monde se tait. Ils ne parlent même pas du fait que des Juifs manifestent quotidiennement contre l’occupation. Ce qui se passe, l’injustice faite au peuple palestinien et au peuple juif qui vit là-bas et qui refuse d’accepter cette autorité, est un cri lancé au ciel. […]

« Voici la photo d’une fille derrière les barreaux. Tous les garçons et filles de la communauté religieuse qui atteignent l’âge de 17 ans deviennent des criminels, parce qu’ils refusent de servir dans l’armée, dans les Forces de défense israéliennes (FDI), où le service militaire est obligatoire. Il s’agit donc de questions très, très importantes.

« Pourquoi est-il si important que les gens comprennent ? Parce que les sionistes sont très rusés, très compétents dans ce qu’ils font. Ils aiment se présenter comme un État juif ; ils insistent pour que l’on parle d’eux comme d’un État juif. Pourquoi ? Parce qu’ils savent que si quelqu’un veut s’opposer à ce qu’ils font au peuple palestinien, [ils peuvent l’accuser d’être antisémite]. Ils prennent leurs maisons, ils volent, ils tuent, ils commettent tant de crimes horribles. Mais si vous dites un mot, oh, vous parlez contre une religion pieuse, et on vous attaque en vous accusant d’antisémitisme. […]

« Mes grands-parents ont été tués à Auschwitz. La plupart de nos communautés sont composées d’immigrants venus d’Europe. Nous sommes morts parce que nous étions juifs, parce que nous tenions à maintenir cette religion, notre alliance avec Dieu. Et nous n’avons pas accepté, en raison de toutes nos souffrances, de retourner sur nos pas et de coloniser un autre peuple. Nous avons souffert et maintenant nous devrions aller pécher contre Dieu pour lequel nous avons donné notre vie, en volant et en tuant et en agissant contre la volonté de Dieu ? C’est pourquoi nous sommes contre le sionisme. […] Le peuple juif qui a trouvé un foyer en Palestine et qui y vivait, ces immigrants, essayait de reprendre son souffle après tant de souffrances ; ils appréciaient d’être sous l’autorité de l’Empire ottoman. Et tout d’un coup, ils sont jetés sous la domination sioniste, et on leur dit que s’ils se lèvent et s’opposent à cette rébellion contre Dieu, ils seront jetés en prison, et seront tenus pour des criminels. […]

« Nous prions Dieu de procéder à un démantèlement rapide de l’État. […] » » (« We Cry for the Palestinians », interview du Rabbin Yisroel Dovid Weiss, 13 oct. 2023, Let the Quran Speak.)

… À la lumière de ces déclarations provenant d’un Juif qui, conformément à sa propre confession de foi, croit en la Torah, pouvons-nous, aujourd’hui, en tant que chrétiens, pour qui, par principe, la loi de Dieu devrait être d’une valeur plus grande encore, selon les enseignements de Jésus élargissant la portée des commandements, plutôt que la rétrécissant; pouvons-nous, dis-je, soutenir un tel État ? Pouvons-nous glorifier un tel État ? Pouvons-nous faire retentir les louanges d’un tel État qui, de toute évidence, n’as jamais remporté ses victoires qu’en transgressant la loi de Dieu des manières les plus flagrantes, les plus effrontées et ce avec la plus grande impunité et l’aval presque muet des grandes nations occidentales ? Une telle approche sera-t-elle chrétienne ? Glorifierons-nous le nom de Dieu en exaltant les mérites d’un État qui, ayant semé le vent, est désormais contraint, à court, moyen et long terme, de récolter la tempête; d’un État qui semble être par dessus tout le bras sioniste des États-Unis au Moyen-Orient, plutôt qu’une représentation fidèle du peuple ou de la foi juive ?

Nous avons bien peur que Dieu ne s’apprête à exaucer la prière de ces hommes Juifs antisionistes pour « le démantèlement rapide de l’État » d’Israël. Pourquoi ? Non pas parce que nous le pensons, ni parce que nous le voulons, mais parce que la prophétie nous en a avertis.

Dans le livre du prophète Daniel, au chapitre 11, nous lisons au sujet de la puissance turque, appelée « le roi du nord », qui, au tournant du 18ème vers le 19ème siècle, se vit confrontée à une autre puissance, la France (au verset 40). Au verset 43, nous apprenons que cette même puissance turque fut troublée par des nouvelles de l’est et du nord et s’en alla « avec une grande fureur pour détruire et exterminer beaucoup de gens. » Ces paroles expriment parfaitement le conflit qui opposa la Turquie à la Russie, ainsi que d’autres nations du monde, dans la Guerre de Crimée, en 1853. Puis un long intervalle de temps vient s’interposer, avant de nous présenter la réalité d’un évènement qui n’a pas encore eu lieu.

« Et il dressera les tentes de son palais entre les mers, vers la montagne glorieuse et sainte. Puis il viendra à sa fin, et personne ne lui donnera de secours. » Daniel 11:45

La prophétie nous annonce que le temps va venir où il, c’est-à-dire le roi du nord, c’est-à-dire la puissance occupant le territoire appartenant jadis à la division septentrionale du royaume divisé d’Alexandre le Grand, soit l’Asie Mineuse; le temps viendra, disons-nous, que la Turquie dressera les tentes de ses palais, c’est-à-dire le siège temporaire de son gouvernement, sur la montagne glorieuse et sainte, entre les mers, c’est-à-dire à Jérusalem, laquelle ville se situe exactement entre la Mer Méditerranée et la Mer Morte.

Mais un déplacement d’une telle nature ne pourrait se faire qu’au prix des toutes les aspirations israéliennes pour l’occupation indéfinie de Jérusalem-Est et de la Cisjordanie. En effet, la prophétie nous annonce, sans demi-mot, le démantèlement complet et radical de l’État d’Israël, au profit d’une invasion par la Turquie d’une partie au moins, ou de la totalité de la Palestine. Et non seulement cela, mais elle nous enseigne également que cet évènement marquera le point de non-retour pour l’humanité, car le verset suivant nous dit :

« En ce temps-là, se lèvera Micaël, le grand chef, qui tient ferme pour les enfants de ton peuple; et ce sera un temps de détresse tel qu’il n’y en a point eu depuis qu’il existe des nations, jusqu’à ce temps-là. » Daniel 12:1

Lorsque ce mouvement de la part de la Turquie aura eu lieu, alors Jésus, Celui qui intercède en faveur de tous ceux qui ont mis leur foi en Ses mérites et qui dépendent de la grâce de Dieu à travers Lui, se lèvera. Il quittera Sa position de sacrificateur et d’intercesseur, se préparant à assumer Ses nouvelles responsabilités, et se revêtira d’un manteau sur lequel est écrit : ROI DES ROIS, et SEIGNEUR DES SEIGNEURS. Cet évènement de la part de la Turquie marque la fin du temps de grâce pour tous les croyants.

Mais la prophétie ne s’arrête pas là, car elle nous apprends, plus encore, que la puissance qui se sera emparée de Jérusalem, et qui est aussi symbolisée, dans Apocalypse 16:12, par « le grand fleuve de l’Euphrate », se tarira, s’assèchera. En effet, car nous lisons autre part au sujet de cette même puissance, ou plutôt de ce conglomérat de puissances, qui avait jadis son sultan en Asie Mineure, et qui sera ressuscitée afin de mener un grand jihad final pour reprendre al Quds, soit Jérusalem :

« Car ainsi m’a dit le Seigneur: Encore une année comme les années d’un mercenaire, et toute la gloire de Kédar prendra fin; et le nombre des vaillants archers, fils de Kédar, sera réduit à un faible reste. Car l’Éternel, le Dieu d’Israël, a parlé. » Ésaïe 21:16-17.

Qui est Kédar ? Lisez-le :

« Fils d’Abraham: Isaac et Ismaël. Voici leur postérité: le premier-né d’Ismaël, Nébajoth; puis Kédar, Adbéel, Mibsam, Mishma, Duma, Massa, Hadan, Théma, Jéthur, Naphish et Kedma; ce sont là les fils d’Ismaël. » 1 Chroniques 1:28-31.

Ismaël est le père des nations arabes, et Kédar était l’un des fils d’Ismaël. La Bible utilise le titre de Kédar pour indiquer le monde arabe musulman en général, car Mohammed, le prophète admis de l’Islam était un descendant de Kédar. La prophétie nous annonce qu’en une année littérale, « la gloire de Kédar prendra fin », sa puissance militaire sera rendue insignifiante. Et que produira ce vide géopolitique dans la région ? Nous le lisons :

« Le sixième ange versa sa coupe sur le grand fleuve de l’Euphrate; et son eau sécha, pour que le chemin des rois de l’Orient fût préparé. » Apocalypse 16:12.

« Pour que le chemin des rois de l’Orient fût préparé. » — Le tarissement du nouveau califat islamique créera un vide géopolitique qui aspirera les nations de l’Est, à savoir la Russie, l’Inde, la Chine, ainsi que toutes les puissances rattachées au grand bloc de l’Est. Mais pas elles seulement, car nous lisons que les esprits de démons « vont vers les rois de la terre et du monde entier, afin de les rassembler pour le combat du grand jour du Dieu tout-puissant. » (Apoc. 16:14).

Et où seront rassemblées toutes ces nations, tant du bloc Ouest que du bloc Est ?

« Et ils les rassemblèrent dans le lieu appelé en hébreu Armageddon. » Apocalypse 16:16.

Où est Armageddon ? Le mont Megiddo se trouve en Palestine — au nord de l’État actuel d’Israël — et surplombe la grande vallée de Jezreel, le lieu qui accueillit déjà de nombreuses batailles par le passé et qui accueillera cette fois la dernière bataille du monde.

Voilà où les choses auxquelles nous assistons aujourd’hui mènent, et voilà pourquoi l’importance est si grande pour nous de placer nos affections sur des choses durables, des choses dignes d’elles, plutôt que sur des mirages d’un instant, qui s’empressent de disparaître comme les nuages disparaissent du ciel. Sommes-nous prêts pour de tels développements ? Nous n’avons qu’une vie terrestre pour nous assurer de notre salut éternel, et cette vie vient rapidement à sa fin.

J’appelle donc, à la lumière des révélations infaillibles de la prophétie : Tournons donc nos regards, notre foi et notre obéissance vers Dieu et le Seigneur Jésus-Christ. Et rappelez-vous, demain n’est pas promis ; c’est aujourd’hui qu’il nous faut affermir notre vocation. Les nations viendront bientôt toutes à leur fin, et Dieu attestera certainement, par la nature des évènements des derniers jours, de la véracité de ces paroles : « Si quelqu’un mène en captivité, il ira en captivité; si quelqu’un tue avec l’épée, il faut qu’il soit tué lui-même par l’épée. » (Apoc. 13:10).

Mais Dieu usera d’un différent principe pour celui qui a déposé à l’autel du sacrifice de soi ses péchés et ses pensées, et a cherché, non seulement le pardon, mais la transformation totale et entière du caractère, pour vivre en parfaite et heureuse harmonie avec la loi du ciel, que ces nations et que le monde transgressent :

« Si le méchant se détourne de tous les péchés qu’il a commis, s’il garde tous mes statuts, et s’il agit selon la droiture et la justice, certainement il vivra et ne mourra point. On ne se souviendra contre lui d’aucune de toutes les transgressions qu’il aura commises; il vivra à cause de la justice qu’il aura pratiquée. » Ézéchiel 18:21, 22.

À cause de l’amour de Dieu par Jésus-Christ, Dieu est en droit de nous innocenter des crimes que nous avons commis contre Sa sainte loi, car Il a Lui-même satisfait à ses exigences en offrant Son Fils unique au sacrifice et à la mort à notre place. Et en Lui la puissance nous a été offerte de vivre en nouveauté de vie, de vivre une vie pleinement heureuse et pleinement victorieuse sur le péché. Telle est la perspective que Dieu nous offre aujourd’hui, et en vertu de laquelle Il promettait à Daniel que quiconque sera trouvé inscrit dans le livre du ciel lors de cet évènement crucial du déplacement de la Turquie vers Jérusalem, échappera aux tragédies des dernières plaies sur le monde. Mais cette assurance est réservée à ceux qui veillent, comme le Seigneur appelle Son peuple à veiller, en vue de ces évènements finaux. Sommes-nous en train de veiller ? Sommes-nous spirituellement éveillés et vivants ?

« Voici, je viens comme un voleur. Heureux celui qui veille, et qui garde ses vêtements, afin qu’il ne marche pas nu, et qu’on ne voie pas sa honte. » Apocalypse 16:16.